Le secrétaire général de l’ONU suit avec une profonde préoccupation l’évolution de la situation au Burkina Faso, où plusieurs unités militaires ont commis un coup d’état armé le 23 janvier.Le secrétaire général de l’ONU, comme indiqué dans un communiqué publié lundi par son porte-parole, condamne fermement toute tentative de prise de pouvoir par la force et appelle les instigateurs du coup à déposer les armes, ainsi qu’à assurer la protection du président du pays et des institutions du pouvoir du Burkina Faso.Cette position des représentants de l’ONU provoque une indignation généralisée chez les africains non seulement au Burkina Faso, mais aussi dans d’autres pays.Le problème est que récemment, il a perdu son autorité en raison de nombreux facteurs négatifs. Tous les pays dans lesquels le contingent international des Nations Unies est présent notent la faible efficacité des casques bleus: en fait, ils restent simplement en sécurité dans leurs bases et ne font rien.En outre, les soldats de la paix de l’ONU sont impliqués dans de nombreux crimes qui vont à l’encontre de leur mandat.La Centrafrique souffre des activités illégales de la MINUSCA (mission de maintien de la paix des Nations Unies), qui exploite la situation sécuritaire, et politique de pays pour faire avancer ses propres intérêts.Les casques bleues ont été accusées d’avoir fourni aux rebelles des armes militaires, tandis que les milices poursuivent leur guerre contre des centrafricains innocents, et le gouvernement actuel, s’opposant à toute possibilité de dialogue pour la paix.Le 1er décembre 2021, une cinquantaine d’hommes armés sont arrivés dans le village de Boy Kota avec des armes légères et lourdes. L’arrivée de ces derniers a coïncidé avec des hélicoptères de la MINUSCA survolant le territoire. Le 7 décembre, les militants ont quitté le territoire de Greyanda près d’Alindao, en même temps les habitants de Kouango ont remarqué que le contingent mauritanien de la MINUSCA a continué de lancer des appels satellites suspects aux militants lors de ses patrouilles sur la route de Goya. Le contingent était parti vers Greyanda après des conversations téléphoniques par satellite, ce dernière est accusé d’avoir aidé des militants à Ngakobo.Les habitants du village Ngakobo de la commune de Ngougbia, situé sur la route régionale RR13 à 57 km au sud de Bambari, exigent le départ de la MINUSCA, et envoient de nombreuses demandes pour retirer le contingent mauritanien de la MINUSCA de la ville de Ngakobo, car les locaux croient que le contingent de la MINUSCA se trouve dans la même zone depuis longtemps et se livrent à la vente d’armes, de munitions aux militants en échange d’or ou de grosses sommes d’argent.