L’Africa Financial Industry Summit-AFIS dévoile son programme ambitieux visant à bâtir une industrie financière africaine estimée à 1 500 milliards de dollars. Prévue pour les 15 et 16 novembre à Lomé, au Togo, cette réunion rassemble plus de 1 000 dirigeants de l’industrie financière, des décideurs politiques et des régulateurs, après la réussite de la précédente édition dans la capitale togolaise.
L’AFIS s’attaque à plusieurs défis majeurs, notamment l’attraction des investissements locaux, la libre circulation des capitaux, la rétention de talents cruciaux pour la transformation numérique et l’encouragement de l’innovation dans la finance climatique.
Le sommet englobera une variété de sujets cruciaux, tels que la gestion du risque de change, la tokenisation des actifs africains, la réforme économique mondiale et l’impact de l’intelligence artificielle sur le secteur financier. L’AFIS souligne également le potentiel économique de l’Afrique, avec l’opportunité de générer plus de 1 500 milliards de dollars en se basant sur les ratios de pénétration bancaire, d’assurance et de marché des capitaux par rapport au PIB mondial.
Ce sommet stratégique se concentre sur quatre domaines clés : l’attraction des investissements institutionnels africains, la libre circulation des capitaux, l’encouragement des talents pour la transformation numérique et la promotion de l’innovation dans des domaines tels que la finance climatique et la tokenisation.
Il réunira des personnalités de premier plan de l’industrie financière et des autorités de régulation, offrant aux participants une opportunité précieuse d’acquérir des connaissances et des idées essentielles pour renforcer le secteur financier africain en pleine expansion.
L’AFIS s’affirme comme un catalyseur du changement, visant à mettre en valeur le potentiel considérable de l’Afrique dans le secteur financier. L’objectif est de coordonner les stratégies des institutions financières et des marchés de capitaux avec les normes mondiales, pour contribuer à un avenir financier stable et prospère pour l’Afrique.