
Les cinéastes togolais présents au 22e festival Clap Ivoire d’Abidjan qui s’est déroulé du 05 au 10 n’ont pas eu que des rôles de figurants. Les deux films présentés par les réalisateurs ont tous deux été récompensés. Ils remportent le prix de l’ONAC-CI du meilleur film documentaire et celui de la meilleure interprétation féminine.

C’est Edem Prudencio ETSE qui s’est vu décerner le prix du meilleur film documentaire pour son court métrage «Quand je serais grande ».

La jeune actrice Lalpoa Germaine KOLANIA, elle, est primée dans la catégorie meilleure interprétation féminine, pour son rôle dans le film fiction « Que la lumière soit » du réalisateur togolais Saliou GANYOU qui était également en compétition.
Le directeur national cinéma avait promis des récompenses lors de la sélection nationale pour les réalisateurs togolais qui ont représenté le pays à ce festival. Une certitude qui est devenue réalité à la tombée des rideaux.
“Que la lumière soit” de LAWANI Ganyou Kassim, met en avant le travail collectif. Le film prône la positivité africaine, tandis que “Quand je serai grande” de Edem Prudencio ETSE met en avant l’importance de l’accès à la santé dans le milieu rural.