Les conditions de vie connaissent une évolution remarquable au Togo. La lutte contre la pauvreté a beaucoup été intensifiée depuis 2005, année où le chef de l’État Faure Gnassingbé est arrivé au pouvoir. Aujourd’hui, l’espérance de vie est impactée.
Sur le territoire, plusieurs facteurs contribuent à l’amélioration de l’espérance de vie, comme l’accès aux soins de santé. Il implique les consultations médicales, les médicaments essentiels, les vaccinations, les interventions chirurgicales, etc.
L’environnement est protégé avec des actions entreprises pour limiter l’impact négatif du comportement humain sur celui-ci. La population est mieux éduquée et donc plus susceptible de prendre des mesures pour éviter les attitudes à risque et adopter un mode de vie.
Les filets sociaux et des services de base sont garantis aux ménages grâce aux programmes d’aide mis en œuvre par l’État. Des emplois décents sont créés, des crédits financiers sont offerts aux entrepreneurs, les personnes vulnérables sont protégées, la paix est maintenue… Autant de choses qui rallongent l’espérance de vie.
Au-dessus de 60 ans
L’espérance de vie peut être définie comme le nombre moyen d’années qu’un groupe d’individus peut s’attendre à vivre dans une société donnée. Bien qu’elle puisse et doit être encore plus conséquente, il y a quand même des progrès au Togo.
Selon des données de la Banque mondiale, l’espérance de vie à la naissance au Togo était d’environ 61 ans en 2020. L’État indique qu’en 2005, l’espérance de vie était de 55 ans.
Elle est montée à 57 ans en 2010, puis à 60 ans en 2015. Avec les 61 ans de 2020, le Togo challenge le chiffre moyen de l’Afrique subsaharienne qui est de 62 ans en 2020.
Baisse des décès maternels
Dans le document, il est aussi indiqué qu’en matière de mortalité maternelle pour 100 000 naissances, on a 492 en 2005 et 440 en 2010, soit une diminution de 52 décès en 5 ans.
En 2015, le chiffre est tombé à 398, puis à 396 en 2017, alors qu’il était à 534 en moyenne en Afrique subsaharienne en 2017. En 2020, le nombre est descendu à 300 au Togo. C’est la représentation d’une lutte active contre la mortalité sur le territoire.