La libération des deux jeunes TikTokeurs accusés d’outrages envers l’autorité publique, notamment envers le chef de l’État Faure Gnassingbé, le mercredi 29 mai 2024, après avoir été condamnés à six (06) mois de prison avec sursis, est le fruit d’un travail soutenu de la Commission Nationale des Droits de l’Homme (CNDH).
Avant même le procès des deux jeunes et leur libération, la CNDH s’est impliquée pleinement dans cette affaire. Depuis leur arrestation jusqu’à leur comparution devant la Chambre correctionnelle du Tribunal de grande instance de Lomé, la CNDH a veillé à ce que les droits des jeunes soient respectés tout au long du processus, garantissant ainsi un procès équitable.
La vidéo publiée sur TikTok qui a conduit à leur arrestation et leur détention au Service Central de Recherches et d’Investigations Criminelles (SCRIC), puis leur transfert à la prison civile de Lomé, a suscité une vive émotion au sein de la population togolaise.
La CNDH, par son engagement constant, a permis que les deux jeunes recouvrent leur liberté, soulageant ainsi leurs familles qui expriment leur gratitude envers cette institution.
